🇺🇸 French brush stroke, "severe"  Hellenistic style


If explanations are necessary, it means the paint has failed.

Born in 1960 in Paris, Vincent Decourt graduated from the National School of Fine Arts in 1985.

After a few solo exhibitions in the 1980s, he moved away from the art world, aware that enhancing his abilities without constraint was key to the growth of his painting techniques and his philosophical approach to art.

🇫🇷 Touche  Française, style Hellénistique  "sévère"

Si des explications sont nécessaires, c'est que la peinture est ratée.

Né en 1960 à Paris, Vincent Decourt est sorti diplômé de l'école nationale des beaux arts en 1985.

Après quelques expositions personnelles dans les années 1980, il s'éloigne du monde de l'art, conscient que le développement de ses capacités sans contraintes était la clé du développement de ses techniques de peinture et de son approche philosophique de l'art.

Bernadette Soubirous, February 11, 1848 - LOURDES - 175 x 254 cm (69 x 100 inches) - 2023

🇺🇸 Bernadette’s interrogatory by the imperial prosecutor - Sunday February 21, 1858 :


« My name is Bernadette Soubirous. I am "13 to 14 " years old, I can not read or write; I have not made my first communion yet.

February 11, day of market in Tarbes, Jeanne Baloume (Jeanne Abadie, Baloume is a nickname) ; came to pick me up to go gather bones with her along the Gave, through the pebbles.

These bones, we had the project to sell them one or two cents* in order to buy sardines.

We left, followed by my sister Marie, younger than me. 

Arriving at the mouth of the canal of the Savy mill (belonging to Monsieur de Lafitte ) ; who separated us from the grotto of Massabielle, Jeanne and Marie crossed the canal. 

As I did not want to put myself in the water**, I expressed the desire that one of them carried me to the other side. 

You can do like us they said.

I had taken off my shoes, and I was about to cross the canal too. 

I stepped into the water when I heard a rustling sound (like a gust of wind), very strong in the hedge we see on the rock overlooking the cave.

I looked on this side, I saw the bush stirred and behind the bush something white. 

I stared at him for a moment, then I knelt down and prayed.

This (Aquero) smiled at me and plunged into one of the openings (the largest) that is above the cave.

My fellows, at that moment, were dancing on the other side of the canal, I asked them if they had seen anything, they answered me negatively. 

They questioned me in turn about what I had seen. 

It's nothing, I told them. 

Aquero was not my size and was about this height (Bernadette indicates a height of about 90 centimeters) ; she had a white veil coming down on her feet, on each of which I saw a yellow rose.

Her hands slightly apart held a rosary, she was young. 

She was perfectly like her face and clothes to a Blessed Virgin placed on one of the altars of the church of Lourdes, at the foot of which I used to go to pray but she was surrounded by light and alive. »


🇨🇵 Interrogatoire de Bernadette par le procureur impérial - dimanche 21 février 1858 :


« Je me nomme Bernadette Soubirous. Je suis âgée de "13 à14" ans, je ne sais ni lire ni écrire ; Je n'ai pas encore fait ma première communion.


Le 11 février, jour de marché à Tarbes, Jeanne Baloume (Jeanne Abadie, Baloume est un surnom) ; vînt me chercher pour aller ramasser des os avec elle le long du Gave, à travers les cailloux.


Ces os, nous avions le projet de les vendre un ou deux centimes* afin de pouvoir acheter des sardines.


Nous partîmes, suivies de ma sœur Marie, plus jeune que moi. 


Arrivées à l’embouchure du canal du moulin de Savy (appartenant à M. de Lafitte) ; qui nous séparait de la grotte de Massabielle, Jeanne et Marie traversèrent le canal. 


Comme il me répugnait de me mettre dans l'eau**, j’exprimai le désir que l'une d’elles me portât à l’autre bord. 


Tu peux faire comme nous, dirent elles.


Je m’étais déchaussée et je m’apprêtais à traverser, moi aussi, le canal.


Je mettais un pied dans l’eau lorsque j’entendis un bruissement (comme un coup de vent) ; très fort dans la haie qu'on voit sur le rocher qui surplombe la grotte.


Je regardai de ce côté, je vis le buisson agité et derrière le buisson quelque chose blanc.

 

Je le fixai un instant, puis je me mis à genoux et je priai. 


Cela (Aquero) me sourit et s’enfonça dans l’une des ouvertures (la plus grande), qui est au-dessus de la grotte.


Mes camarades, dans ce moment, dansaient de l'autre côté du canal, je leur demandai si elles n’avaient rien vu, elles me répondirent négativement.

 

Elles m’interrogèrent à son tour sur ce que j'avais vu. 


Ce n'est rien, leur dis-je.


Aquéro n'était pas ma taille, elle était de cette hauteur à peu près (Bernadette indique une hauteur de 90 cm. environ), elle avait un voile blanc qui descendait à ses pieds, sur chacun desquels je vis une rose jaune.


Ses mains légèrement écartées tenaient un chapelet, elle était jeune. 


Elle était parfaitement semblable à son visage et à ses vêtements à une Ste Vierge placée sur l'un des

autels de l'Ă©glise de Lourdes, au pied de laquelle j'allais prier mais elle Ă©tait environnĂ©e de lumière et vivante."Â